L'histoire du Domaine Théo Meyer
Le domaine Théo Meyer est installé à Ammerschwihr, petit village viticole situé sur la mythique route des vins d’Alsace.
La famille perpétue la tradition viticole depuis 3 générations et c’est en 1955 que Théodore Meyer, le grand-père, lance son propre domaine avec seulement 2 hectares de vignes. A l’époque, à la sortie de la guerre, en pleine crise, le vin était vendu en vrac…Il a cependant fait le pari de commercialiser ses bouteilles, sillonnant la région avec son camion pour distribuer son vin. Le début du porte à porte !
Maurice, son fils aîné, reprend l’exploitation en 1977 avec 6 hectares. Cultivant seul, il mécanise le travail de la vigne au maximum
Cultiver la vigne de manière raisonnée
Aujourd’hui, notre vignoble s’étend sur 13 hectares et nous le conduisons selon les principes de la viticulture raisonnée. Coteaux pentus et vignes en plaine sont le terrain de jeux de Muriel et d’Alexis, son mari.
Nous mettons un point d’honneur à prendre soin de l’environnement dans lequel nous vivons, que ce soit dans l’exploitation de nos vignes ou dans nos techniques de vinification en cave. Le domaine suit d’ailleurs les principes du label Haute Valeur Environnementale, nous encourageant à limiter au maximum l’utilisation de pesticides et autres intrants.
Une affaire de famille depuis 3 générations
En 2006, Valérie et Muriel rejoignent leur père Maurice dans l’aventure familiale, en apportant savoir-faire et modernité, tout en conservant les traditions.
Ce sont désormais les deux filles aux commandes du domaine, sous l’œil bienveillant de leurs parents. Bien qu’à la retraite, Maurice est encore actif dans les vignes, lorsqu’il n’est pas à la chasse et Doris, la maman, s’occupe (entre autres !) de l’accueil au caveau.
Notre engagement envers la biodiversité
La dimension humaine de notre métier est par ailleurs très importante c’est pourquoi la majorité des travaux sont effectués manuellement. Nous utilisons principalement des produits agréés “agriculture biologique” et pratiquons l'enherbement des rangs et le labour des sols.
Cet engagement envers la biodiversité nous rend d’autant plus fiers que nous notons le renouvellement d’un biotope et d’une flore qui avaient disparu jusqu’alors.
Jonquilles, orchidées sauvages et autre pois sont désormais voisins de nos pieds de vignes, pour notre plus grand bonheur…
Là où il y a de la vigne, il y a de la civilisation